Besoin d'écrire
Un besoin d’écrire, un besoin de raconter tout se qui se passe dans ma tête pour avancer.
Tellement de choses reste dans ma tête, tant de souvenirs, tant de réflexions, tant de chose a dire, à te dire. Il y en a tellement que je t’ai dit que se ne serait pas un mail qu’il faut pour te dire toutes mes pensées mais bien un livre.. C’est a travers ce journal intime que je commence aujourd’hui à écrire tous ces sentiments, ces souvenirs, tout ce que j’ai dans le cœur et dans ma tête.
Peut-être qu’un jour je te le dévoilerai ou peut-être qu’il restera anonyme à jamais.
Si je devais retenir une date, se serai décembre 2006, notre première rencontre. (Il y a déjà un peu plus de 7 ans maintenant, sa remonte.. et en même temps sa passe tellement vite.) Au collège, en jouant avec des pommes de pins, nos regards se sont croisés et c’est là que tout à commencer. Là où l’on a commencer à s’écrire des SMS tous les jours, à s’appeler pendant des heures, à se parler sur "msn" jusqu’à des 4 heures du matin, à délirer avec nos couvertures, puis on à commencer à se voir, tu venais en vélo à l’époque (2Km, tu étais courageux =) ), j’étais si heureuse a chaque fois que tu venais me voir, j’avais le cœur qui battait à la chamade, on allait se promener au terrain de tennis, et sa par tous les temps, c’est des moments magique que je ne pourrais jamais oublier. Quand tu te cachais derrière les arbres quand j’essayer de te filmer ou quand il s’était mis à pleuvoir et que l’on était trempé de la tête au pied au point d’en faire une flaque par terre quand on est rentré.
Puis un jour, je t’ai dit que je voulais te demander quelque chose, tu insistais pour savoir ce que c’était mais je t’avais dit que je te dirais ce que c’est le "30 juin ou mai" je crois je me souviens du jour mais pu du mois, le jour de la boum mais au final je n’ai pas pu attendre et je t’ai avouer mes sentiment sur msn, tu n’en revenais pas. =P Ah, la boum, c’était une sacrée soirée sa, je me rappelle, j’avais mis ma petit robe noir juste pour toi, on avait danser coller serré le zouk toutes la soirée sur toutes les chansons.
Il y a beaucoup de souvenirs qui me reviennent de cette période comme lorsqu’on manger des lardon cru dans le canapé, ou encore quand on se prenait en photo tout les deux dans ma chambre avec la webcam (on était tout moche sur ces photos là), mais on en a fait également des magnifiques devant le miroir de ta salle de bain ou celui dans mon couloir, c’était aussi l’époque où tu danser la tecktonik (vidéos à l’appui, mdr).
Durant cette période de gros délires on eu lieu, un moment particulier aussi dont je me souviens le "21 juin" le jour de la fête de la musique, le fameux jour où l’on devait voir Plastic Bertrand : "Sa plane pour moi" mais qu’au milieu des groupes qui chantait on a dû retourner chercher une bouteille d’eau chez toi. Tu avais bu de l’eau et tu m’as embrasser contre la porte de ta cuisine et tu m’as dit : "Hum ça glisse" puis on avait joué avec tes pistolets, on sait tous les deux retrouvés à terre. Je sais pas combien de temps ont avaient mis mais on a louper le chanteur principal. On a eu aussi de gros fous rires comme un matin où j’étais venu chez toi à 7 heures du matin et qu’on a regardé "téléshoking" un grand moment. Je me souviens aussi le jour où tu étais malade comme un chien, tu avais pas eu de chance ce jour là, tu étais dans le fauteuil tout blanc, a ces moments là ton salon étais encore de l’autre côté. Le soir on étais là sur ton canapé allonger à regarder là télé et à se faire des câlins même que des fois on s’endormait tous les deux et que mon père m’attendait dehors parce qu’on entendait pas nos téléphones.
On a eu aussi nos musiques en particulier une que je t’ai fait écouté chez moi, j’étais assise au bout de la table et je t’avais dit : "sa c’est notre musique" c’était une chanson de Madina Lake : "One Last Kiss". A vrai dire toute notre histoire on pourrait la raconter avec des musiques car chaque périodes que l’on à traverser, une musique y correspond, même encore aujourd’hui.
Puis il y a eu ce moment où je t’ai dit que je me lassais, à vrai dire j’ai un gros trou noir de cette période, je me rappelle de rien du tout même pas comment sa s’est passé, comment je t’ai quitter. Mais durant cette phase, durant les deux ans où l’on c’est quitté j’ai réalisé qu’il y avait quelque chose qui nous unissais, ce fameux "lien", c’est grâce à lui que je suis revenu vers toi car j’ai réalisé que je ne pouvais vraiment pas me passer de toi, je ne peux pas l’expliquer mais quand on est loin l’un de l’autre trop longtemps, j’ai l’impression que ce lien et tiré à l’extrême et qu’il cherche également à nous rapprocher comme si c’était "le lien du destin" et on ne peut rien faire contre sa. Par moment aussi j’ai l’impression que l’on sait quand l’un ou l’autre ne va pas bien, à croire qu’on fait tout en même temps malgré tout.
On s’est de nouveau rapprocher en fin 2008, début 2009 où on recommencer à se reparler pendant des heures au téléphone, et tard le soir sur MSN.. Il y a eu aussi Chris Brown, The Script, toutes ces musiques qui nous ont petit à petit rapproché l’un de l’autre pour enfin que l’on se remette ensemble. Je me souviens de se premier bisous, c’était sur ton lit en écoutant de la musique, la musique de Madina Lake si mes souvenirs sont bon. Ce jour là, j’ai retrouvée mon amour pour toi, un amour plus fort que jamais mais avec ce que je t’ai fais vivre au par avant, je t’ai forgé un cœur de pierre et tu as eu beaucoup de mal a me faire confiance et a tout me donner alors j’aurai pu donner ma vie pour toi. Malgré tout sans t’en rendre compte tu t’es rattaché à moi et j’ai passé deux merveilleuses années à tes côtés, avec nos petits moments de joie, de rire, de pleure, au finale on se rend compte que tout étais parfait malgré tout. On a tellement fait de choses ensemble, le ski, dont un grand moment lors de ta première descente tout droit vers l’arbre ou encore l’Ardèche, la Dordogne, l’Espagne, les concerts (Chris Brown, Black Eyes Peas, Shakira..) et Monaco, je regrette un peu de comment j’ai été là-bas, j’ai l’impression que j’ai été chiante alors que c’est l’un des plus beau moments a deux qu’on puisse avoir et surtout beaucoup de chance pour les deux places du dimanche, tu te rend compte quand même, quand on y repense, on a été au grand prix de F1 à Monaco, c’est pas rien.
Aujourd’hui nous sommes le 22 Mai 2018 et sa fais très longtemps que je n’ai pas réécrit sur ce journal. Et il m’a fallut presque q’un an pour enfin mettre à l’écrit tout ce que je ressens.
Oui, parce que finalement tout ce journal te restera anonyme à jamais comme j’avais pu l’écrire en 2013. Aujourd’hui, tu es parti et cela va faire presque un an. Depuis ce jour où l’on me l’a annoncé, je le vie très mal, je n’arrive toujours pas à l’accepter et je pense que je n’y arriverais jamais. Je passe par tellement d’émotions, la tristesse, la colère, le regret, je voudrais que tout cela ne se soit jamais passé. Tout se bouscule dans ma tête, tous les jours je pense à toi, tous les jours pleins de souvenirs remonte à la surface et tellement de questions, d’incompréhensions, de choses que je me dis que j’aurais pu faire et qui auraient surement pu tout changer.
Avant que tout cela n’arrive je m’étais créer un petit brouillon où je voulais raconter la suite de tout ce que l’on a vécu ensemble. Comme le rendez-vous que l’on c’était donné en 2007 pour se revoir 10 après quoi qu’il arrivait, les rêves que l’on pouvait faire l’un de l’autre, notre playlist de musiques, le tatouage LK dont on avait parlé, les cadeaux que j’aurais pu t’offrir si j’étais riche mdrr (j’aurais pu t’offrir la terre entière si tu savais), ce fameux "forever" tmtc.. et j’en passe. On a vécu tellement de chose en si peu de temps que je ne pourrais jamais oublier.
Je ne sais pas si d’écrire peut m’aider à aller mieux mais qui ne tente rien n’a rien comme on dit.
Le jour où j’ai appris que tu ne ferais plus parti de ce monde, c’était le 18 Juillet 2017. J’étais au boulot et ta sœur m’avait écrit pour me demander de la contacter car elle avait quelque chose d’important à me dire. Ce que j’ai fais ce jour là, je sais pas j’en avais le pré-sentiment, ce n’étais pas normal qu’elle m’écrive elle et pas toi. Et c’est la qu’elle m’a annoncé que tu avais eu un accident de moto, qu’une personne t’avais coupée la priorité. A ce moment là, je ne savais pas comment réagir, je ne voulait pas y croire à vrai dire et puis je me suis écroulé, les larmes coulées et je ne pouvais plus m’arrêter, je n’arrivais même pas à dire à quelqu’un ce qui m’arrivait, je ne pensais qu’à toi et me disais que c’était impossible. Il y a tellement de personnes sur terre pourquoi il a fallut que sa tombe sur toi, toi la seul et unique personne qui ne fallait pas que je perde.
Il y avait une seule chose que je savais et que j’avais en tête c’est qu’il fallait que je te vois une dernière fois sinon je l’aurait regretté. J’ai donc demandé si cela étais possible et j’ai pu te voir une dernière fois. Dès que j’ai su j’ai quitté directement mon boulot et fais ces 3h de route pour te voir et puis je suis arrivée, j’ai vu ton papa, ta famille, c’était très dur pour eux. Quant à moi j’ai arrêté de pleurer je ne sais pas pourquoi, enfin si je pense que c’était parce que je n’y croyais pas tout simplement. Et je suis enfin rentrée dans cette pièce, tu n’avais pas vraiment changé, tu étais beau aussi et c’était comme si tu dormais paisiblement. J’ai pu te dire au revoir une dernière fois, j’ai posée ma tête sur ton bras et je n’arrêtais pas de me répéter en boucle dans ma tête que j’étais désolée comme si tu pouvais m’entendre. Et c’est bizarre mais pendant tout ce temps passé avec toi, j’avais toujours cet espoir en moi que tu allais te réveiller, je me disais que ce n’était pas possible, qu’il y allait y avoir un miracle je ne sais pas mais j’y ai cru jusqu’au bout. Et puis il a fallut partir, la je t’ai embrassé sur le front et tu étais tout froid. Je ne sais pas ce qui s’est passé à ce moment là mais toutes mes croyances ce sont effondrées d’un seul coup, je me disais qu’enfaîte il n’y avait rien après cette vie et que tout sa c’est qu’un tas de connerie, ce qui m’a fait encore plus mal. Aujourd’hui je ne sais plus si je dois croire en quelque chose, un coup j’y crois, un coup pas du tout mais je ne regrette en aucun cas être venue te dire au revoir. Si je ne l’avais pas fais je pense que les choses auraient été encore plus difficile pour moi aujourd’hui.
Le lendemain c’était le jour de ton enterrement, je n’ai pas voulu y aller, je n’y arrivais pas mais je suis passer quand même, j’étais là dans la voiture sur le parking, il y avait tellement de monde et beaucoup de motards, ils t’ont tous fais un jolie hommage, avec toutes ces motos alignés dans l’allée du cimetière. Je suis repassais un peu plus tard dans la soirée pour te déposer des fleurs (enfin des fleurs.. il faut toujours que je ne fasse pas comme tout le monde hein ? Mais je voulais quelque chose d’originale pour que tu saches que c’était moi), c’était plutôt deux roses éternelles. Une rose noir qui représentée la perte et toute la tristesse que je pouvais ressentir et une rose blanche qui représentée la pureté, la paix. Aujourd’hui à chaque fois que je viens te voir j’ai pris cette habitude de t’en ramener une. La dernière c’était samedi d’ailleurs, une belle rose éternelle rouge et celle là ne prendra pas l’eau car elle a un magnifique vase entièrement fermé. Ce jour là je ne t’es pas ramené uniquement deux roses éternelles, il fallait aussi que je te dise ce que je ressentais et tu me connais on a toujours fais ces choses là avec des chansons et bah la ça n’a pas changé, je t’ai écrit la musique de Skylar Grey - Words accompagné d’une photo de nous deux et signé "Forever". Cette musique bizarrement sans jamais avoir regardé la traduction avant ce jour je savais que c’était celle-là qu’il fallait que je t’écrive dans cette lettre. Et puis j’ai regardée et là sa à était le choque, elle correspondait exactement à ce que l’on vivait a ce moment là, tout, la moindre parole parlait de nous et de ce que je ressentais, c’était la musique parfaite. (Une de plus tu me diras qui racontais notre histoire mais celle là plus que les autres).
Lors de mon retour chez moi, je me suis assis sur mon balcon, c’était le soir, il faisait beau on voyait les étoiles dans le ciel mais il faisait froid aussi et c’est la que j’ai vraiment craquée pour la première fois, j’avais enfin réalisée. Je me suis effondrée, mise à pleurer et je pensais qu’à une chose c’est que tu étais tout seul dans le noir, qu’il n’y avais plus personne à tes côtés et que tu devais avoir froid. J’avais tellement mal au cœur, je voulais vraiment être auprès de toi. Quand je viens te voir je pourrais rester des heures assises à attendre et imaginer que tu es là et que tu me réponds. En réalité depuis le départ j’attend que tu me fasse un signe, j’attend, j’espère, je veux croire que tu es toujours là quelque part. C’est d’ailleurs le lendemain matin que j’ai commencée à me dire que finalement il y avait peut être quelque chose après car en me réveillant ce matin là, j’ai regardée mon téléphone et là j’ai vu l’application de musique Spotify d’ouverte sur une musique sur pause. Je ne sais pas si c’est juste une coïncidence ou non mais pour moi c’était un signe (on sait toujours parlé en musique) même si c’est pas suffisant pour que je crois en quelque chose. Quoi qu’il en soit, j’ai eu ce réflexe de regarder la traduction des paroles de cette musique que je n’avais jamais entendu auparavant. C’était Heart Like Yours - Willamette Stone. Tout de suite j’ai pensée que c’était toi qui m’avait répondu à la musique que je t’avais laissé au cimetière, mais comment c’était possible, c’était impossible qu’une musique dont je n’ai jamais connu l’existence avant se retrouve là sur mon téléphone et qui pour en rajouter correspond totalement à quelque chose que tu pourrais me dire, cette chanson une fois de plus était parfaite, toutes les paroles de cette musique, j’ai tout de suite pleurée tu te doutes bien.
Les jours qui ont suivi, je me suis retrouvée dans un état second, j’étais là physiquement mais ma tête était complètement ailleurs. J’ai totalement arrêtée de manger, j’aillais travailler mais c’est comme si je n’étais pas là, je pleurais, écoutais sans cesse de la musique pour ne parler à personne, j’étais dans un autre monde mais bizarrement je faisais une prod' beaucoup plus importante que d’habitude. Lorsque l’on est dans cette état, tout nous paraît sans importance, on se rend compte que les gens se prennent la tête pour des choses ridicules tout devient tellement futile et on prend conscience de ce qui est vraiment important de ce qui ne l’es pas. Ce qui donne l’impression que personne ne peut vous comprendre si ces personnes n’ont jamais vécu quelque chose de similaire. Et le soir je rentrais je me posais dans le canapé ou dans le lit et je dormais, je pensais qu’à une chose c’était dormir, je pouvais dormir des heures et en plus une chose que je n’ai pas compris non plus c’est que je dormais vraiment bien. Tout ce qui sait passé j’aurais pensée que sa aurait été l’inverse qui se serait produit comme ne plus dormir, manger sans arrêt, ne plus réussir à travailler. Au bout d’une semaine et demi je me suis rendu compte (ou plutôt on le l’as fais remarqué car j’en étais pas consciente du tout) que j’avais énormément perdu (-15kg en tout jusqu’à ce que j’arrive à remanger) et qu’il fallait que je mange. J’ai donc essayée de me réalimenter, par manger des choses que j’aimais mais malheureusement la nourriture me dégoûtée même les choses que j’aimais le plus. Je me forçais donc à manger un minimum mais mon corps, ou mon cerveau sa je ne le sais pas ne l’acceptais pas et je rejetais tout se que j’avalais. C’est revenu petit à petit avec le temps dans les mois qui ont suivi. Heureusement qu’il y avait le boulot car sinon je ne sais pas comment j’aurais tenu le coup. D’ailleurs je les remercies tous du fond du cœur d’avoir était la pour moi et de m’avoir soutenue et remontés le moral.
Petit à petit j’ai commencée à aller mieux enfin, aller mieux façon de parler. J’ai arrêtée de pleurer du moins mais j’ai commencée à penser à pleins de choses et avoir énormément de regret à me dire si j’aurais su, j’aurais dû, si jamais j’avais fais ci et ça, etc.,etc.. Finalement je pense que c’est encore pire. J’avais les émotions à vif, je pouvais me mettre en colère ou pleurer pour des choses tellement futiles et idem pour les rires et la joie, j’étais dans l’extrême en permanence avec cette impression de faire n’importe quoi, de faire des choses que je n’aurais jamais faites avant.
J’ai toujours voulu une chose c’est ne jamais oublier ton visage et depuis le départ je voulais juste te voir dans mes rêves, mais j’ai que très peu rêvée de toi. Les première fois tu étais toujours là au loin, tu étais de dos en général et je n’arrivais jamais à t’approcher. Finalement j’ai enfin fait ce rêve qui m’a réconfortée, tout à commencée dans une invasion de zombi quand même, tu n’aurais jamais dû apparaître dans celui-ci. J’étais en train de courir pour me sauver mais tout le monde allaient dans le sens inverse je comprenais pas pourquoi et je voulais leur dire que ce n’était pas par là qu’il fallait aller et puis je me suis retournée et tu étais là. C’est à ce moment là j’ai compris que je rêvais, tu étais là devant moi et tu tenais un bébé dans tes bras. C’était une petite fille avec un bandeau elle était magnifique et puis j’ai enfin pu te prendre dans mes bras je n’arrêtais pas de te dire que je suis désolée. Et je me suis réveillée, je savais pas trop quoi en penser mais j’étais contente pour toi. Enfin le dernier rêve que j’ai fais récemment tu m’as enfin parlé, j’ai commencée à te prendre dans mes bras et cette fois je répétais en boucle "plus jamais je te laisserais tomber" et puis tu as fini par me poser une question que j’ai eu du mal a comprendre sur le coup, sur mes projets, je t’ai donc répondu que oui sa faisait longtemps que l’on s’était pas vu (je devais surement faire allusion au précédent rêve) et que non du coup mes projets avaient changés et je me suis réveillée. Ce rêve m’a quand même laissé perplexe, c’était la première fois que tu me parlais en rêve et c’était une conversation banale.
Je pensais à toutes ces choses, je me demande si je t’avais envoyer un message ce jour là plutôt que de faire la tête car je pensais que tu avais oublié notre rendez-vous que l’on c’était donné 10 ans plus tard, tu aurais peut-être perdu 30 secondes et sa ne se serais jamais produit. Bien-sûr je me suis rendu compte après que en faite tu n’avait jamais oublié et que tu m’avais demandé la date exacte sur une ancienne adresse mail que je n’utilisais pu. Je me dit aussi qu’il y a 10 ans en arrière lorsque j’ai faillit louper ce train à 2 minutes près pour aller en colonie de vacance et que j’ai du courir pour monter dedans, si je n’étais pas montée dans ce train en 2007, tout sa ne serait jamais arrivé car tout ce qui s’en ai suivi découle de ce moment précis, peut-être que cela serait arrivé quand même mais pas à cet endroit ni de cette façon. Je me rend compte aujourd’hui que le moindre choix que l’on fait aussi infime ou sans importance à nos yeux, peut impacter notre vie entière ainsi que celle des autres. Chaque choix que l’on fait, chaque détails à son importance qui défini notre futur et celui des autres et c’est ainsi que nous sommes tous liés d’une certaine façon.
J’ai encore tellement de choses à dire mais il y en a tellement justement qu’à force tout ce mélange.
Tu me manques terriblement.
Forever_